Breaking news : Les conditions d’octroi des crédits immobiliers sont assouplies

conditions-du-2019-octroid-des-créditsi-mmobiliers
Sommaire

[et_pb_section fb_built= »1″ admin_label= »section » _builder_version= »3.22″ global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_row admin_label= »row » _builder_version= »3.25″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.25″ custom_padding= »||| » global_colors_info= »{} » custom_padding__hover= »||| » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_text admin_label= »Text » _builder_version= »3.27.4″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »]

Le ministre de l’économie, des finances et de la relance,  vient tout juste d’annoncer que les conditions d’octroi des crédits immobiliers sont assouplies !

Le H.C.S.F. (Haut Conseil de stabilité financière), a décidé aujourd’hui, jeudi 17 décembre, de revoir les règles d’octroi de crédits immobiliers, en les rendant obligatoire pour les banques.

La durée maximum d’endettement passe ainsi de 25 à 27 ans, le taux maximum d’endettement à 35% contre 33% jusqu’à présent, et le volume de dérogation à ces règles passera de 15% à 20% de l’ensemble des crédits octroyés.

Ces limites étaient celles en vigueur depuis l’année dernière, avec pour objectif de limiter le surendettement des ménages.

L’assouplissement vise en particulier à aider les primo-accédants dans leurs projets, il faut rappeler qu’il y a eu 17% des projets en moins de financés par les banques en 2020 (Journal Sud-ouest).

Selon le ministre, les règles ont fonctionné, la part des crédits aboutissant à un taux d’endettement supérieur à 33% ayant diminué de 7 points, et celle des crédits dont la durée était supérieure à 25 ans de 4 points.

La recommandation sera précisée pour confirmer qu’elle ne fait pas obstacle aux rachats et renégociations de crédits dès lors qu’ils permettent de réduire le taux d’effort ou la maturité des crédits ; le regroupement de crédits relève de la même logique dès lors que ces crédits ont été octroyés de manière indépendante ; – les différés d’amortissement dans une limite de 2 ans seront pris en compte pour intégrer les spécificités de certaines opérations, notamment les ventes en l’état futur d’achèvement et les contrats de construction de maisons individuelles ; – compte tenu des pratiques constatées sur le calcul du taux d’effort, son mode de calcul fera l’objet de précisions complémentaires et la référence passera de 33 % à 35 % ; – la marge de flexibilité, concernant les nouveaux prêts pouvant s’écarter des meilleures pratiques relatives à la maturité et au taux d’effort, sera portée de 15 % à 20 % et sera davantage ciblée sur la primo-accession. » Communiqué de presse Paris, le 17 décembre 2020, HCSF.

Nicolas Villar

Co-dirigeant – Les Courtiers Bordelais

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

Ces articles peuvent vous intéresser